En analysant trois oeuvres québécoises majeures à savoir Un homme et son péché de Claude-Henri Grignon, Les Belles-soeurs de Michel Tremblay et La Petite Vie de Claude Meunier les auteurs passent en revue les éléments socioculturels qui façonnent la définition que les Québécois se donnent d'eux-mêmes comme collectivité et qui transforment leur culture nationale, pourtant si féconde, en une fabrique de servitude.